Il y a plusieurs années, étant dans l'esprit de l'erreur ( catholique) un prêtre m'avait envoyé le texte en dessous, sur une vision de l'enfer, faire peur aux gens afin qu'ils soient facile à manipuler.....La vierge marie dans ce texte n'ai pas la vraie ( elle parle de son fils qui est au dessus d'Elle) hors la véritable Marie ( Maman de Tous et Toutes) Elle est la VIE qui à donner la VIE à TOUS et TOUTES, pas de Fils qui a usurper sa place = au sommet) c'est EUX qui ont créer le "pécher" et après ils accusent , rabaissent ect....J'attire votre attention sur les mots en rouge.....
Texte ci dessous est extrait de : <<Précieux recueil de spiritualité >> de A.Ponthaud, éditions DFT
La très sainte Vierge Marie à sainte Brigitte :
<< Je suis la Mère de Miséricorde, je veux montrer par similitude la peine du péché, afin que les amis
de Dieu soient fervents en son Amour, et que les pécheurs, sachant le danger, fuient le péché. Il n'y a pas
de pécheur si coupable que je ne sois prête à aller au-devant, et à qui mon fils ne soit disposé à donner
la grâce et à pardonner, s'il demande Miséricorde.>>
Sainte Brigitte vit une femme qui rampait par terre, dans une boue infecte, et dont le coeur était arraché,
les lèvres coupées, les narines rongées, et les yeux suspendus à deux nerfs tombant sur les joues. Elle
n'avait plus de crâne et son cerveau bouillait comme du plomb fondu. Son cou était coupé sans relache
par un fer très aigu; sa poitrine ouverte était pleine de vers qui grouillaient l'un sur l'autre. Un serpent
l'enserrai, courait sans cesse par tout l'intérieur, ne lui laissant ni trêve ni repos, et l'infiltrait de son venin.
Et cette infortunée criait à sa fille encore vivante :
<< Entends, lézarde et fille maudite ! Malheur à moi qui ait été votre mère et qui vous ai mise au nid de
l'orgueil où vous croissez, malheur à moi ! Autant de fois vous tournez les yeux superbement sur quelqu'un
comme je vous ai enseigné, vous jetez à mes yeux un venin tout bouillant, avec une intolérable ardeur.
Chaque fois que vous proférez des paroles orgueilleuses ainsi que vous m'en avez entendu proférer,
j'avale des breuvages horribles.
<< Quand vous écoutez les louanges sur votre corps bien proportionné et désirez les honneurs du
monde,ce que vous avez appris de moi, autant de fois frappe à mes oreilles un son terrible avec un vent.
Et d'autant que j'ai fait toutes choses pour l'amour du monde et pour la vanité, mes oreilles entendront
toujours cet horrible fracas, et jamais les mélodies célestes.
Malheur à moi misérable assallie de tants de mots et plongée pour toujours dans une irrémédiable
infortune !
<< Vous vous enorgueillissez de votre haute naissance et les entrailles qui vous ont portée sont la
proie des démons. Comme les vôtres, mes désirs ne tendaient qu'à tout ce qui est pourriture et ordure,
à la longue vie dans les mêmes passe-temps.
<< Mais pourquoi me plaindre à vous ma fille? vous ne faites que ce je vous ai enseigné de faire.
J'étais créée pour la gloire céleste et belle comme un ange. Je me suis rendue difforme en abusant de
tout; j'ai perdu le temps qui m'était donné, fuyant les prédications comme de la poix, de peur qu'elles ne
me détournassent des délices corporels.
Et si quelquefois, pour le respect des hommes, j'entendais la parole de Dieu, elle sortait aussitôt de mon
coeur.
<< Et néanmoins ma conscience me disait que le temps était court, le jugement de Dieu effroyable; mais
le désir de me satisfaire répliquait faussement que le jugement de la fureur divine n'était pas si sévère et
que ma vie serait longue. Ces suggestions renversaient ma conscience, et je suivais mes désirs mauvais
pour lesquels je souffre pour l'éternité tant de maux. >>
<< Et s'adressant à sainte Brigitte, l'infortunée lui dit :
<< Si vous me voyez véritablement comme je suis, vous mourriez d'éffroi, car tous mes membres sont
des démons.
L'écritures est vraie qui dit que les justes sont membres de Dieu; de même, les pêcheurs sont membres
du diable.
Les démonts sont comme cloués à mon âme, ils me rongent sans jamais se rassasier. Ma fille, en suivant
ma malice,augmente la peine qui ne cessera point. Ma douleur, mon malheur, jamais ne s'adouciront.
Ma conscience entend et ressent que le jugement de Dieu est juste. Ma volonté est maintenant comme
l'homicide et le paricide: je désire toute sorte de maux à mon créateur qui m'a été si doux, si bon durant
ma vie, usant de mille industrie pour me ramener à lui. Et je me réjouis d'une joie de démons, prenant sa
source en infini désepoir; de ce qu'il n'aura pas de consolation de moi.>>
La fille de cette malheureuse mère, après le récit de sainte Brigitte, quitta le monde, entra dans un
monastère et fit pénitence tout le temps de sa vie avec grande perfection.
Plutôt AFFREUX cette vision de l'enfer, comment un DIEU et une " marie" peuvent faire de tels horreurs et dire que l'on parle d'un dieu d'amour, la marie de ce texte qui est d'accord avec son "fils" , cette marie est celle des églises que vous adorez, sauf la cathédrale notre dame à Paris, mais ils y ont aussi mit le mal avec ds démons sur la façade en haut.....Dans ce texte ont peu voir la haine pour le corps de cette pauvre femme et le serpent qui la fait aussi souffrir ( serpent qui apparait comme le tentateur dans la bible envers Eve ( Eva) à Méditer......